Le nombre de troupes de Suvorov participant à la campagne Suisse est estimé à 21 000 personnes. C'est sans compter les forces autrichiennes sous le commandement d'Auffenbach et Strauch (ensemble - environ 7000 personnes).Le nombre de troupes de Suvorov participant à la campagne Suisse est estimé à 21 000 personnes. C'est sans compter les forces autrichiennes sous le commandement d'Auffenbach et Strauch (ensemble - environ 7000 personnes).Les forces des français sont plus difficiles à évaluer, car, bien que le nombre total de français avant le début de la société était d'environ 80 000 personnes, ils n'étaient pas tous en contact avec les troupes de Suvorov, en outre, dans les batailles avec les troupes de Rome-Korsakov, les français ont également subi des pertes. Nous les considérerons comme étant égaux à 35 000. 
À la suite de la campagne, l'armée russe a perdu 5100 personnes, dont

• 1600 morts
• environ 1000 blessés
• environ 2500 prisonniers

Les pertes des français Suvorov évaluaient au moins quatre fois plus. Mais il semble que ce soit encore une estimation surestimée. Avec une perte d'environ 20 000 français, ils seraient eux-mêmes dans une situation difficile. Mais il ne fait aucun doute que les pertes des français étaient très supérieures aux pertes des russes (même si nous ajoutons les pertes des autrichiens). Dans le processus de préparation à la campagne, nous espérons clarifier le nombre de pertes de la partie française.
Il convient de noter ici que la nature de la guerre en 1799 n'a pas rappelé le massacre frénétique de 1812 et les années suivantes de la société étrangère. L'endurcissement des soldats n'a pas atteint un tel degré. Les deux parties n'ont ménagé aucun effort pour préserver la vie des prisonniers, comme en témoignent de nombreux témoignages. En particulier, Andrei Glebov, le futur commandant du 6ème régiment de garde, était dans la bataille près de Schwanden (le dernier jour des combats de la marche Suisse) gravement blessé à la tête et laissé comme mourant par l'arrière-garde russe. Mais dans 2 ans, en 1801, il reviendra déjà en Russie et vivra jusqu'en 1846. Il n'y a pas eu de blessés dans cette guerre. Et dans les hôpitaux, ils aidaient également les soldats des deux côtés.
Eh bien, en Conclusion, nous mentionnerons que Alexandre Vassilievitch Suvorov seulement après la campagne Suisse a reçu le titre de Généralissime, ce qui l'a mis presque à niveau avec les monarques d'août. Il n'y avait pas beaucoup dans l'histoire des généralissimes (moins d'une centaine dans toute l'histoire du monde, seulement cinq-dans notre pays, alors que seulement deux ont reçu ce titre pour les mérites militaires).